The Least We Can Do Is Wave to Each Other est le deuxième album du groupe progressif britannique Van der Graaf Generator, enregistré en décembre 1969, puis sorti en février 1970 et son premier chez Charisma Records, le même label que Genesis.
Il s'agit en réalité du premier album véritablement progressif (et collectif ) du groupe avec des morceaux plus sombres, influencées par le jazz et la musique classique. La voix de Peter Hammill, ses histoires mystico-scientifiques et la musique torturée, très personnelle du groupe constituent un alliage à part dans l'histoire du rock progressif.
A noter l’utilisation du saxophone qui s’impose, qui fait corps avec le reste, tantôt jazzy, tantôt symphonique et corrosif dans Darkness (11/11). Le final de White Hammer est apocalyptique, angoissant, menaçant. After the Flood (plus de 11 mn) est la pièce maîtresse offrant toujours une vision d'apocalypse.
Musiciens
Peter Hammill : guitare acoustique, chant, piano
Hugh Banton : orgue, piano, chœurs
Nic Potter : basse, guitare électrique
Guy Evans : batterie, percussions
David Jackson : saxophone ténor et alto, flûte, chœurs
1. Darkness (11/11) – 7:28
2. Refugees – 6:23
3. White Hammer – 8:15
1. Whatever Would Robert Have Said – 6:07
2. Out of My Book(Hamill, Jackson) – 4:08
3. After the Flood – 11:29
Musiciens
Peter Hammill : guitare acoustique, chant, piano
Hugh Banton : orgue, piano, chœurs
Nic Potter : basse, guitare électrique
Guy Evans : batterie, percussions
David Jackson : saxophone ténor et alto, flûte, chœurs
Je laisse de côté les 3 autres titres, plus « champêtres », moins caractéristiques du groupe.
Voici donc
Darkness (11/11) et After the Flood.
White Hammer
et After the Flood